PRÉNOM Arthur FONCTION Centraliste SOCIÉTÉ SEBM SUD FORMATIONS / DIPLÔMES J’ai un bac scientifique et un Bac +2 en réseaux et télécommunications. Il y a 9 ans, j’ai eu l’occasion de rejoindre MARTEL grâce à Georges MARTEL, qui m’a parlé d’un besoin de renfort pendant l’été, pour cause des congés des équipes. J’ai commencé par deux mois sur un chantier d’assainissement à Saint-Pierre-de-Chandieu. Comme je me débrouillais pas trop mal en informatique, Georges m’a ensuite proposé de prendre un nouveau rôle : centraliste sur la toute nouvelle centrale SEBM SUD à Grigny. C’est là que j’ai été formé par Monsieur Frédéric Cantinha, alias “El Barbiche”. Ca fait 9 ans que je suis chez MARTEL, et je suis vraiment fier du chemin parcouru… en espérant que l’aventure continue encore longtemps ! CENTRES D’INTÉRÊTS J’adore le rugby, le badminton et la formule 1. EN QUELQUES MOTS, COMMENT DÉCRIRIEZ-VOUS VOTRE RÔLE DANS L’ENTREPRISE ? Mon rôle dans l’entreprise, c’est de faire le lien entre les clients qui commandent du béton, que ce soit des particuliers ou des entreprises, et la centrale. Je m’assure que tout se passe bien, que le béton corresponde aux normes, et que les livraisons se fassent dans de bonnes conditions, en coordination avec les chauffeurs toupie. À QUOI RESSEMBLE VOTRE JOURNÉE TYPE ? On fonctionne en binôme : une semaine sur deux, je suis en poste dès l’ouverture de la centrale vers 5h30 (je termine vers 16h), et l’autre semaine, je prends le relais à 9h jusqu’à la fermeture, autour de 18h selon la demande. Avant chaque chargement dans les camions toupies, j’appelle les clients pour confirmer qu’ils sont prêts à couler, surtout quand il s’agit de bétons spécifiques comme le désactivé ou la chape liquide. Ensuite, c’est une vraie « danse téléphonique » toute la journée entre les clients et les chauffeurs pour bien organiser les livraisons. En parallèle, on gère aussi l’approvisionnement en matières premières : les agrégats, le ciment, les adjuvants… On est particulièrement vigilants sur les livraisons de cailloux spéciaux en semi-remorque, car une seule pollution non visible peut compromettre tout un chantier – et là, c’est à nous de tout refaire à nos frais. On s’occupe aussi de l’entretien de la centrale : les tapis, les bassins de décantation, les balances de pesée… tout doit être en bon état pour que la journée se déroule sans souci. Le plus difficile dans ce métier, pour moi, c’est la gestion du relationnel. Certains clients peuvent être tendus ou de mauvaise foi au téléphone, mais on garde toujours notre calme et on fait en sorte de trouver des solutions. RACONTEZ-NOUS UNE ANECDOTE LIÉE À L’ENTREPRISE OU À VOTRE PARCOURS Quand on a du désactivé prévu le lendemain, on ensile les cailloux en fin de journée. Un jour, avec Fred, on avait préparé trois types d’agrégats en 6/10 et fini vers 18h30. Mais notre client SDC nous appelle : changement de dernière minute, il faut finalement du 4/6. On a tout vidé et tout recommencé, on a terminé vers 20h30. C’était à mes débuts, et ça m’a marqué : une journée dans le béton, c’est jamais prévisible !